Assurer la sécurité d’une construction immobilière

décembre 27, 2018 Non Par echangemaison
Assurer la sécurité d’une construction immobilière

Sécurité garantie ! C’est vite dit. Encore faut-il prendre toutes les mesures de sécurité possibles et imaginables. Lesquelles pour une construction immobilière ?

Sécurité d’une construction immobilière : les mesures

Sans être un champ de mines, un chantier de construction immobilière expose à différents risques d’accidents, autant pour ceux qui y travaillent en permanence que pour les visiteurs occasionnels. Ces accidents peuvent avoir différentes origines : physique, chimique, mécanique, entre autres. La prudence veut que tous ceux qui travaillent sur le chantier soient mis au courant de ces différents dangers pour savoir comment les éviter. Des séances de formation devraient être prévues. Chaque personnel du chantier doit prendre le temps d’évaluer les risques avant de commencer à travailler. Il doit établir une liste des risques et des mesures préventives correspondantes. En parlant de prévention, il y a le respect de la tenue vestimentaire adéquate: chaussures obligatoires, port de casque, de gants. Pour ceux qui doivent travailler sur un poste de soudure, port de lunettes obligatoires. La liste est loin d’être exhaustive.

Contracter les assurances indispensables

Contracter toutes les assurances exigées pour une construction immobilière compte parmi les mesures de sécurité à prendre. C’est une recommandation expresse. Quelles que soient les mesures de sécurité d’une construction immobilière, le risque zéro n’existe pas. En cas de sinistres, il vaut mieux être couvert par une assurance pour éviter de supporter soi-même le coût des dédommagements, le cas échéant. Différentes sortes d’assurances existent en la matière : responsabilité civile, dommages-ouvrage, responsabilité décennale. Il faut dire que les sinistres peuvent survenir longtemps après la livraison de l’ouvrage. Par exemple les normes NF C 15-100 doivent être respectées pour une installation électrique. Pour résumer le tout : vaut mieux prévenir que guérir pour ne pas être médecin après la mort.